Face à la montée de la malbouffe et de l’obésité, elle propose une loi pour encadrer leur implantation au nom de la santé publique. Son idée : s’inspirer du modèle des débits de boissons, avec un nombre maximum d’établissements selon la population. Objectif, dit-elle, réguler sans interdire. Un projet qui fait débat, entre liberté de commerce et protection de la santé, alors que certains élus locaux, comme à Fère-en-Tardenois, peinent déjà à limiter ces ouvertures. Une proposition de loi est attendue au Sénat, mais le contexte politique actuel risque de retarder les discussions…